Indicateurs

GEN16 - Pourcentage des patients qui indiquent que leur dispensateur habituel de soins de première ligne les encourage toujours ou souvent à poser des questions au sujet de leur maladie chronique

[Commonwealth Fund, 2011]
Sujet
Générique – Gestion des maladies chroniques
Domaines
Dimension du modèle de gestion des maladies chroniques
Centrés sur le patient
Sous-dimension
Communication
Caractéristiques de l'indicateur
Niveau de preuve
Les indicateurs génériques n’ont pas été appariés à des niveaux de preuve, ne faisant pas l’objet de guides de pratique clinique
Cote de mesurabilité
Indicateur mesurable avec les moyens en place présentement
Cote de pertinence des professionnels
Indicateur jugé pertinent par 50% à 74% des professionnels
Cote de pertinence des usagers
Important
Données scientifiques appuyant l'indicateur
Argumentaire
Une revue systématique de longue date portant sur les effets de la communication médecin-patient a permis de déterminer qu'une communication efficace (où le dispensateur pose un large éventail de questions, non seulement sur les aspects physiques du problème du patient, mais aussi notamment sur ses sentiments et ses inquiétudes, sa compréhension du problème, ses attentes par rapport au traitement et ses perceptions quant aux limites fonctionnelles associées au problème) pouvait avoir des effets positifs sur la santé émotionnelle des patients, la résolution des symptômes, le contrôle de la douleur et le statut fonctionnel et physiologique [Stewart, 1995]. Une revue systématique plus récente [Mead et Bower, 2002], portant spécifiquement sur les comportements « centrés sur le patient » durant la consultation, est toutefois parvenue à des conclusions plus ambivalentes.
Mesure de l'indicateur
Sources de mesure
  • Enquête auprès des usagers
Précisions*
Deux questionnaires validés en français et en anglais pour le Canada sont disponibles pour évaluer cet indicateur (questionnaire du Commonwealth Fund [Commonwealth Fund, 2011]; Primary Care Assessment Survey (PCAS) [Safran et al., 1998; Beaulieu et al., 2011]). Ils diffèrent quant à la formulation précise de la question et au nombre de modalités de réponse proposées pour en évaluer la mesure.
Exceptions*
Il revient aux professionnels de définir les exceptions en fonction des meilleures pratiques et de la source de mesure retenue.

Abonnez-vous à notre infolettre dès maintenant

Abonnement